Now is the right time to become an American Federation of Musicians member. From ragtime to rap, from the early phonograph to today's digital recordings, the AFM has been there for its members. And now there are more benefits available to AFM members than ever before, including a multi-million dollar pension fund, excellent contract protection, instrument and travelers insurance, work referral programs and access to licensed booking agents to keep you working.
As an AFM member, you are part of a membership of more than 80,000 musicians. Experience has proven that collective activity on behalf of individuals with similar interests is the most effective way to achieve a goal. The AFM can negotiate agreements and administer contracts, procure valuable benefits and achieve legislative goals. A single musician has no such power.
The AFM has a proud history of managing change rather than being victimized by it. We find strength in adversity, and when the going gets tough, we get creative - all on your behalf.
Like the industry, the AFM is also changing and evolving, and its policies and programs will move in new directions dictated by its members. As a member, you will determine these directions through your interest and involvement. Your membership card will be your key to participation in governing your union, keeping it responsive to your needs and enabling it to serve you better. To become a member now, visit www.afm.org/join.
July 1, 2018
IM -par Robert Fraser, président de l’OMOSC et membre de la section locale 247 (Victoria, C.-B.)
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Cet été, la Conférence annuelle de l’OMOSC aura lieu à l’Hôtel Pur, à Québec. Tous les musiciens d’orchestre sont invités à venir observer nos séances ouvertes, qui se tiendront du 14 au 16 août. Dans l’après-midi du 15 et la matinée du 16, nous offrirons un service de traduction simultanée qui permettra tant aux présentateurs qu’aux participants de travailler dans la langue officielle de leur choix.
Si vous lisez régulièrement les chroniques des associations de musiciens dans la présente publication (en passant, merci) vous connaissez déjà nos activités. De manière générale aux conférences, les délégués font rapport des activités de leurs orchestres respectifs pour la saison qui se termine; nous en retenons des sujets et enjeux particuliers et créons des comités qui travaillent pendant toute la saison (surtout sur les questions liées aux médias électroniques). Nous entendons aussi des intervenants de tous les domaines de notre industrie : les leaders de notre syndicat, les dirigeants de l’organisation qui représente nos gestionnaires et ceux de notre caisse de retraite; s’ajoute à cela une présentation de notre conseiller juridique. De plus, des conférenciers invités nous entretiennent de sujets variés allant des relations publiques à la santé et la sécurité au travail.
Il y a deux ans, dans cette même chronique, j’ai parlé de moyens pour vous, comme musicien d’orchestre, de tirer pleinement parti de l’adhésion de votre orchestre à l’OMOSC; et de façons de mettre la main à la pâte même si vous n’êtes ni délégué ni membre d’un comité. Je répéterai certains de ces points ici, car je ne soulignerai jamais trop leur importance.
Si vous êtes un membre de votre comité d’orchestre ou faites partie du comité de négociation, veuillez inclure votre délégué de l’OMOSC dans vos délibérations et communications, et ce, de façon régulière. Si votre délégué est membre de l’un ou l’autre de ces comités, la question ne se pose pas. Il arrive cependant que certains délégués se sentent mal informés parce que la communication est mauvaise. Un délégué de l’OMOSC peut être un atout précieux : s’il a assisté à de nombreuses conférences, il a rencontré des personnes clés dans chaque orchestre et possède un savoir qui se révèle utile dans différentes situations. De plus, les délégués communiquent entre eux au moyen d’une liste de diffusion sécurisée, ce qui leur permet d’échanger facilement de l’information.
Si vous êtes membre de votre orchestre depuis de nombreuses années, prenez le temps d’en compiler les archives. À titre de musiciens, nous n’avons aucune difficulté à transmettre nos connaissances musicales à la prochaine génération, mais qu’en est-il de nos connaissances sur les négociations, les grèves, les fermetures temporaires, l’évolution des pratiques commerciales de notre orchestre, les comités de recrutement et plus encore ? Au cours de ma carrière, j’ai vu trop d’erreurs se répéter d’un orchestre à l’autre. Le personnel et les membres du conseil d’administration vont et viennent, mais certains musiciens sont là depuis plus de 40 ans. Tirez parti de leur savoir. Une bonne façon de commencer consiste à retracer l’historique des négociations de vos trois dernières ententes collectives. Compilez au moins les changements apportés à la rémunération chaque année, et les dépenses d’exploitation de votre orchestre. Heureusement, une partie de ce travail a déjà été fait pour vous : l’AFM a mis en ligne toutes les données de nos tableaux pluriannuels des salaires de l’OMOSC.
Enfin – et c’est peut-être là le plus important − il y a des façons pour vous de participer et d’aider votre orchestre et l’OMOSC sans consacrer des heures à un comité. Avez-vous une compétence particulière que vous pouvez mettre à profit à l’occasion ? Êtes-vous bon photographe ? Prenez des clichés spontanés qui illustrent un point de vue de musiciens : c’est une belle façon de faire voir les musiciens sur les réseaux sociaux. Avez-vous une belle plume ? Proposez d’écrire un article pour un blogue ou un bulletin. Peut-être faites-vous du bénévolat pour un organisme communautaire qui pourrait intéresser vos collègues? Toute activité qui met votre orchestre au coeur de la communauté qu’il sert vaut la peine.
Comme toujours, j’ai hâte de rencontrer vos délégués le mois prochain et de continuer ensemble à remplir notre mission : être « la voix des musiciens d’orchestre professionnels canadiens ».